Voilà un paramètre dont les experts financiers n’aiment pas parler car il fait appel à une dimension sur laquelle ils n’ont aucun contrôle : LA CHANCE !
En effet, prenons l’exemple de 2 retraités : « Clémence Lachance » et « Edouard Chanoir »…
Nos deux retraités épargnent dans l’objectif de disposer de
500 000€ au jour de leur départ en retraite à 65 ans. Ils souhaitent compléter leurs revenus avec 25 000€ par an, corrigé de l’inflation au fil du temps, histoire de ne pas perdre leur pouvoir d’achat.
La totalité de leur capital est placé sur un support indexé sur le CAC40.
La première à partir en retraite est Clémence en 1996. Edouard, lui, est plus jeune et n’y sera qu’en 2000.
Ce tableau nous permet de voir combien de temps le capital de chacun de nos deux retraités pourra les aider à financer la deuxième mi-temps de leur vie.
Edouard a complété ses revenus jusqu’à atteindre l’âge de 79 ans en 2013 puis plus rien. Sachant que la dernière année ne lui a permis d’obtenir que 17 226€.
En revanche, Clémence a atteint ses 89 ans en 2019 et continue à percevoir son complément retraite et dispose encore d’un capital de plus de 442 431€…
Edouard aura retiré 380 600€ et les 119 400€ restant auront été mangés par le marché financier alors que Clémence aura retiré 717 000€ et disposera encore de plus de 442 000€…
Mais les deux sont partis avec le même capital, qu’est ce que…. !!
Et bien le facteur CHANCE vient de faire son œuvre.
Edouard a pris sa retraite alors que 3 années de performances négatives pour le CAC 40 se sont enchainées.
En revanche Clémence a pris sa retraite au moment où le CAC 40 enchainait 4 années de forte croissance.
L’effet sur le capital de chacun de nos retraités est radicalement différent. Edouard pourrait bien finir ses jours dans des conditions précaires alors que Clémence pourra peut être même transmettre du capital à ses ayants droits…
Oh mon Dieu, et moi qui n’est jamais eu de chance avec l’argent….
Effectivement cela peut faire peur, voir même vous décourager d’épargner pour votre retraite.
L’erreur serait d’être pessimiste et de ne rien faire. Vous êtes maintenant informés de l’effet négatif ou positif que peut avoir la conjoncture sur votre épargne.
Mais on vous rassure, il y a autre chose à faire avant de chercher à collectionner les trèfles à 4 feuilles. Il existe des solutions qui vous garantiront un revenu complémentaire à vie quoi qu’il arrive sur les marchés financiers.
Pour les connaître, il ne vous reste plus qu’à nous demander comment en prenant contact avec nous.
Au plaisir de vous aider